Pourquoi la vaccination covid est inefficace

On nous annonce une septième vague en France, cet été !
Les derniers chiffres officiels montrent que les triples vaccinés ont deux fois plus de risques d’être testés « positif » au Covid que les non-vaccinés !
Cet échec des vaccins pour stopper l’épidémie était-il prévisible ? OUI !
Voici pourquoi :

Un vaccin injecté peut-il empêcher un virus d’entrer dans le nez !?
D’abord, l’éradication totale du coronavirus, rêvée par certains, n’est pas crédible. Il est impossible d’éradiquer une maladie qui a autant de réservoirs animaux – à moins d’éliminer de la planète la totalité des chats, chauves-souris, singes, visons, rats, bref, tous les animaux contaminés et contaminants.
Il est également irréaliste d’imaginer que les vaccins covid peuvent bloquer les contaminations.
Car un vaccin injecté dans le muscle a peu de chances d’empêcher l’infection et la transmission d’un virus respiratoire !
C’était su et connu. En décembre 2020, BFM TV a donné la parole à Vincent Maréchal, professeur de virologie à la Sorbonne. Celui-ci a dit : « on ne sait toujours pas si ce vaccin Covid bloque la transmission du virus … (tout comme) … le vaccin polio injectable ne permet pas de bloquer la transmission du virus ».
On pouvait le lire dans le journal Le Temps, en janvier 2021 : « Le vaccin est effectué de manière intramusculaire, il induit donc une réaction immunitaire généralisée. Celle-ci réduit le risque de développer des symptômes, mais n’empêche pas forcément l’entrée du virus et sa multiplication au niveau des muqueuses nasales. »
Le ministre Olivier Véran le reconnaissait d’ailleurs discrètement, début janvier 2021 : « nous ne savons pas si ce vaccin protège du risque de contamination ».
Cette vérité a mis du temps à sortir. Il a fallu attendre l’été 2021 pour que les autorités américaines reconnaissent que la charge virale mesurée dans la cavité nasale était identique chez les vaccinés et les non-vaccinés. Cela veut dire qu’on a trouvé autant de virus dans le nez des vaccinés que des non-vaccinés.
C’était d’autant plus prévisible que le même phénomène a eu lieu avec la coqueluche !

La preuve par le vaccin coqueluche !
La coqueluche est une maladie globalement bénigne, causée par la bactérie Bordetella pertussis. De façon intéressante, la coqueluche a des points communs évidents avec le covid : c’est une maladie des voies respiratoires très contagieuse et qui se transmet par voie aérienne.
Les scientifiques reconnaissent que les vaccins modernes contre cette maladie ne fonctionnent pas bien. Voici ce qu’on peut lire sur le site de l’INSERM, qui résume bien le consensus scientifique :
« Depuis les années 2000, ces vaccins sont utilisés dans les pays industrialisés, mais il n’a pas fallu dix ans pour constater que le taux de coqueluche en population générale remontait malgré la vaccination. Les vaccins actuels protègent en effet bien contre la maladie, mais leur réponse est de courte durée (3 à 5 ans) et ils ne bloquent pas suffisamment la transmission de la bactérie entre individus. »
Les vaccins modernes contre la coqueluche sont donc « de courte durée » et ne « bloquent pas suffisamment la transmission ».
Ils sont imparfaits, et c’est pourquoi des scientifiques travaillent à des vaccins nasaux ! Car contrairement aux vaccins injectés, nous dit l’INSERM, ces vaccins-là « reproduisent la voie naturelle d’infection et améliorent par conséquent la durée d’efficacité », en provoquant « une immunité locale dans les voies respiratoires ».
Car les vaccins injectés ne sont pas seulement imparfaits : ils risquent même de favoriser la diffusion épidémique !
En effet, quand un vaccin diminue les symptômes, sans empêcher l’infection, il risque de faciliter les contaminations, car les gens ignorent qu’ils sont contagieux et ne prennent plus de précautions !
Or c’était précisément l’un des gros risques des vaccins anti-covid : « masquer les symptômes » sans bloquer la transmission … donc favoriser la diffusion du virus !

L’histoire se répète : le vaccin qui provoquait des « variants »
Les vaccins coqueluche modernes ont la fâcheuse tendance de favoriser les variants.
Les vaccins anti-coqueluche ressemblent aux vaccins anti-covid sur un point capital : ils se concentrent sur une toute petite partie du germe. Les vaccins anti-coqueluche modernes ne contiennent qu’une poignée de protéines de la bactérie, alors que les vaccins précédents contenaient la totalité de la bactérie, avec ses milliers de protéines.
Idem pour les premiers vaccins covid, qui se sont concentrés sur une seule protéine du virus, la protéine spike. Cela favorise les mutations, donc les variants !
C’est un phénomène naturel, évolutionniste, que l’on connaît depuis des dizaines d’années qui a été confirmé récemment par l’Institut Pasteur pour les vaccins anti-coqueluche !
Comment le vaccin a-t-il provoqué ces variants ? D’abord, en ne bloquant pas les transmissions : « il y a beaucoup de transmissions silencieuses de la coqueluche et de nombreux cas, même symptomatiques, ne sont pas diagnostiqués ».
Puis, lors de ces contaminations, la maladie s’est adaptée au vaccin. L’étude montre que la bactérie de la coqueluche a muté précisément sur les protéines visées par le vaccin pour échapper à son action. Bref, le vaccin a provoqué des variants qui échappent à l’immunité vaccinale !
Et c’était parfaitement prévisible, comme l’a confirmé au Monde le généticien Julian Parkhill, de l’université de Cambridge. Et le journal Le Monde de conclure de cette étude sur la coqueluche, « de quoi questionner les choix concernant la composition vaccinale, y compris dans le cadre de la lutte contre le Covid19 ».
Ce risque était d’autant plus grand que les coronavirus mutent plus facilement qu’une bactérie comme celle de la coqueluche !
Or le risque de favoriser ce genre de variants est encore plus grand si l’on vaccine massivement en pleine épidémie ! Là encore, malgré le manque de nuance médiatique sur ces vaccins « miraculeux », le lecteur attentif avait pu le lire dans la presse dès janvier 2021 – ici, via le chercheur Éric Billy, pourtant un inconditionnel de la vaccination.
« L’idéal c’est de faire une campagne de vaccination massive quand le virus circule très faiblement. Quand on fait une campagne de vaccination de masse, si le virus circule beaucoup, il existe le risque d’une immunité incomplète, qui peut générer une pression de sélection sur le virus ».
L’apparition de « variants » et l’inefficacité du vaccin étaient donc parfaitement prévisibles.

Étrangement, ceci a été largement masqué, au profit d’une forme de dogmatisme provax qui interdisait la moindre critique sur la vaccination.
Extrait de la lettre de Xavier Bazin