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En cette mi-juin 2022… les médias et autorités de santé sont embarrassés.
Les deux plus prestigieuses revues scientifiques du monde, Nature et The Lancet, ont, chacune, lancé un pavé dans la mare concernant ces deux sujets tabous : le décompte des morts du Covid et les myocardites provoquées par les injections Covid.
40% d’erreur dans le décompte des décès Covid ?
Rappellons nous des bulletins d’information télévisée ou radio ou presse, qui commençaient tous par une « mise à jour » du nombre des morts du Covid.
Ce décompte journalier était déprimant. Par son caractère anxiogène, il a largement participé à nous faire accepter les mesures de protection et de vaccination qui ont suivi.
Mais ce décompte était artificiellement gonflé.
Dans un texte publié le 9 juin, Nature révèle en détail comment les experts de l’OMS ont pu compter près de 40% en trop dans le simple calcul de l’excès de mortalité causé par l’épidémie de Covid-19.
Les erreurs les plus importantes concernent des pays comme l’Allemagne et la Suède, pourtant connus pour leur rigueur.
L’erreur résiderait dans la méthodologie employée par les experts de l’OMS. Elle n’est toujours pas résolue : les chiffres communiqués pourraient toujours être « gonflés ».
Notons que ce décompte émane d’une organisation internationale, l’OMS, dont les chiffres et les communiqués ont joué un rôle de premier plan dans la gestion de la crise sanitaire partout dans le monde.
Ces « modélisateurs » avaient déjà été critiqués pour leurs prédictions souvent trop pessimistes quant au nombre de décès que provoquerait la pandémie. La preuve est faite que même pour l’analyse des décès réels leurs modèles mathématiques étaient défaillants.
Faut-il encore rappeler que le décompte brut sans référence contextuelle de durée ou d'autres types de mortalité dans un pays ou dans le monde n'a guère de réelle signification ?
Confirmation du risque accru de problèmes cardiaques suite à l’injection
Ce qu’a publié The Lancet le 11 juin est stupéfiant.
Une vaste étude rétrospective a été menée pour « comparer » les risques cardiaques (péricardites et myocardites) suite à une injection :
• soit d’un vaccin Pfizer,
• soit d’un vaccin Moderna.
Résultat : pour les deux vaccins le risque est le même, c’est à dire plus élevé que constaté habituellement, en particulier chez les 18-25 ans.
Chez ces jeunes, le risque augmente plus particulièrement après une dose dite de rappel.
En somme, ces recherches confirment ce que tous les médecins de famille constataient depuis le démarrage de la campagne de vaccination : une hausse inexpliquée des troubles cardiaques chez leurs patients.
Sachez enfin que le ministre de la Santé allemand, la semaine dernière, a admis explicitement que les injections anti-Covid avaient affaibli le système immunitaire de ses concitoyens, ce qui les exposait de fait davantage aux autres virus.
Pourtant, ce ministre recommande de renforcer la vaccination pour faire face aux vagues de Covid à venir !
Ces grands écarts sont gênants: il est difficile pour un politique ou pour un scientifique d'admettre qu'il a pu se tromper.
Néanmoins, ces nouvelles informations, assises sur des données scientifiques avérées, commencent à être rendues publiques. Espérons que le pass vaccinal prévu à l'automne ainsi que la relance de campagnes d'injections rencontreront une forte résistance de la population.